Une autre façon de rythmer votre récit et par là même de maintenir l’attention de votre lecteur, consiste à alterner le récit des faits, les descriptions et les dialogues. Sans dialogue, les personnes qui n’ont pas l’habitude de lire parmi celles à qui vous offrez vos mémoires risquent de se décourager. Les dialogues permet en effet d’alléger le texte est de rendre la lecture plus attractifs.

Un exemple ? Dans un texte écrit au discours indirect, il peut être écrit :

« en sortant, le médecin annonça que mon père n’avait absolument rien aux yeux, mais plutôt que son cerveau refusait de voir le monde extérieur. Je lui demande ce qu’il fallait que je fasse. Il me répondu qu’il n’avait pas de solution miracle à me proposer. Seul le déclic pouvait de guérir ».

Au discours direct, ce même texte donne :

« En sortant, le médecin annonça :

– votre père n'a absolument rien aux yeux. En réalité, c’est son cerveau qui refuse de voir le monde extérieur.

– alors, que dois – je faire ?

- malheureusement, je n’ai pas de solution miracle à vous proposer. Il faudrait provoquer un déclic… »

Le dialogue permet souvent d’éviter les lourdeurs lorsque l’on met en scène plusieurs personnages et les répétitions incessantes d’expressions telles qu’ " il répondit que "il dit que ". De plus, visuellement, le dialogue crée une aération dans la page, du fait des recours à la ligne. Placé le dialogue en début du chapitre peut aussi avoir pour effet de couper radicalement avec le rythme du chapitre précédent et ainsi redonner un nouveau souffle à votre récit.

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