Interview Jean-Michel Parcé

• Qui êtes-vous ?

Je suis chirurgien-dentiste retraité. J'ai 69 ans.

• Qu'est-ce qui vous a donné envie d'écrire un livre sur les droits de l'animal ?

C'est mon apitoiement pour tous les animaux maltraités, surtout pour tous ceux qui nous servent de nourriture et sont tués dans les abattoirs. Cela aussi en même temps que la découverte de la déclaration des droits de l'animal.

• Depuis quand vouliez-vous écrire ce livre ?

L'idée m'est venue avec l'inscription à cet atelier d'écriture.

• Qu'est-ce que cela vous a apporté ?

Un grand enrichissement sou les différents styles littéraires - sur l'édition - sur la langue française - la ponctuation et la mise en page.

• Avez-vous rencontré des difficultés lors de l'écriture ?

Non, le professionnalisme des correcteurs et de mon coach personnel à faciliter ce travail.

• Comment avez-vous imaginé les illustrations ?

Ce sont mes souvenirs de l'école primaire, les fables de la fontaine qui m'ont permis d'imaginer les illustrations.

• Combien de temps avez-vous mis pour l'écrire ?

9 mois environ.

• Pourquoi avoir choisi l'auto-édition ?

Je n'avais pas envie d'attendre des mois pour trouver un éditeur. Je souhaitais avoir mon livre dans les mains. Ce qui ne m'empêche pas à présent de chercher un éditeur.

• Que vous a apporté l'atelier d'écriture ?

Un enrichissement sur le monde de la littérature et de l'édition. J'ai découvert aussi que le chemin est long pour devenir un auteur et qu'il faut acquérir certaines compétences que mon apporter l'atelier d'écriture à distance.

• Expliquez vos attentes pour l'avenir ?

J'aimerais continuer les albums de « Gatien & Lucas ». Ils sont déjà écrits, mais demandent à être corrigés et mis en page.

• Vous envisagez à présent d'écrire un tome II. Pouvez-vous nous mettre l'eau à la bouche ?

Le tome II sera « le sapin de Noël ». Ce sera une fête organisée par les instituteurs et les parents d'élèves. L'idée est de présenter des échanges respectueux entre les élèves et leur instituteur et de revenir évidemment sur la protection de l'environnement.